Aujourdhui, je m'occupe des papiers du décès de ma mère, datant du 11/07/22. Si je résume, elle est décédée un mois trop tôt pour la convention obsèques souscrite au 01/08/21 car on est encore dans les un an de carence, et un mois trop tard pour le capital décès souscrit il y a 12 ans, car elle a eu 71 ans le 11/06/22. VDM
Bonjour, Le délai de règlement d'une succession dépend fortement des faits, notamment de la complexité du dossier par exemples, nombreux héritiers, biens à évaluer etc.. Face à des délais anormalement longs, surtout lorsqu'ils sont causés par une personne de mauvaise foi, un héritier a la possibilité de tenter de régler le litige à l'amiable, par l'envoi d'un courrier en RAR à la personne responsable. En l'absence de réponse, il sera éventuellement possible pour cette personne, notamment avec l'aide d'un avocat, de mettre en demeure la personne d'exécuter son obligation. Si le problème persiste, il pourra éventuellement disposer d'un recours auprès du Tribunal d'Instance ou de Grande Instance qui pourra ordonner l'exécution de l'obligation sous astreinte ou encore le versement de dommages et intérêts en cas de préjudice subi. Dans tous les cas, en cas de conflit entre l'enfant et le conjoint survivant dans le cadre d'une succession, il est généralement recommandé de faire analyser les faits par un avocat qui dispose de l'expertise et du recul nécessaires afin de défendre au mieux les intérêts de son client et d'évaluer l'opportunité du recours, à la lumière des décisions antérieures portant sur des faits similaires. Si vous avez d'autres questions, n'hésitez pas à me contacter. Bien à vous Réponse du 18 septembre 2019
Unedépression après un décès est on ne peut plus naturelle et la plupart du temps bénigne. Au bout de sept ans, il est évident que votre mère n'a pas fait son deuil et que cela en est pathologique, associé ou non à d'autre problèmes. L'hôpital public, pour la santé mentale, n'effectue que très très peu de suivi.
jojolapin Le 19/12/2005 à 1613 16227871 "la bref nette" a écrit dans le message de news 43a6babe$0$9161$ Bonjour. Je suis en mauvaise terme avec une partie de ma famille. Suis-je obligé de les prévenir mes freres, soeurs et parents en cas de décès de mon épouse ou des mes enfants ? Même question pour mon épouse, est elle obligé de prévenir ma famille de mon décès ? Merci. Jacques. Cela dépend si tu veux une cérémonie religieuse en leur présence? La politesse veut qu'on leur dise. Sinon ils l'apprendront en cas d'héritage car ce sera tes enfants qui hériteront directement. a+ chris Le 19/12/2005 à 2119 16227671 pour l'heritage c'est faux..; je fais parti de la DDASS et quand mon pere est decédé le notaire n'a jamais trouvé ma soeur que je connais pourtant, mais qui voulait rien de l'héritage , j'ai laissé le notaire faire son travail pour voir la credibilité et la franchement je suis resté sur le C.. vraiment quand on veut pas trouver on cherche pas et j'en ai pa preuve. et a^pres faudrai leur faire confiance ... alors chacun son point de vue chris "jojolapin" news 43a6ce1f$0$19703$ "la bref nette" a écrit dans le message de news 43a6babe$0$9161$ Bonjour. Je suis en mauvaise terme avec une partie de ma famille. Suis-je obligé de les prévenir mes freres, soeurs et parents en cas de décès de mon épouse ou des mes enfants ? Même question pour mon épouse, est elle obligé de prévenir ma famille de mon décès ? Merci. Jacques. Cela dépend si tu veux une cérémonie religieuse en leur présence? La politesse veut qu'on leur dise. Sinon ils l'apprendront en cas d'héritage car ce sera tes enfants qui hériteront directement. a+ X Le 19/12/2005 à 2226 16227621 Mais sinon, "chris" 43a715be$0$18346$ pour l'heritage c'est faux..; je fais parti de la DDASS et quand mon pere est decédé le notaire n'a jamais trouvé ma soeur que je connais pourtant, mais qui voulait rien de l'héritage , j'ai laissé le notaire faire son travail pour voir la credibilité et la franchement je suis resté sur le C.. vraiment quand on veut pas trouver on cherche pas et j'en ai pa preuve. et a^pres faudrai leur faire confiance ... alors chacun son point de vue chris "jojolapin" news 43a6ce1f$0$19703$ > > "la bref nette" a écrit dans le message de > news 43a6babe$0$9161$ >> Bonjour. >> Je suis en mauvaise terme avec une partie de ma famille. >> Suis-je obligé de les prévenir mes freres, soeurs et parents en cas de >> décès de mon épouse ou des mes enfants ? >> Même question pour mon épouse, est elle obligé de prévenir ma famille de >> mon décès ? >> Merci. >> Jacques. > Cela dépend si tu veux une cérémonie religieuse en leur présence? > > La politesse veut qu'on leur dise. > Sinon ils l'apprendront en cas d'héritage car ce sera tes enfants qui > hériteront directement. > a+ > - Bonsoir, Les notaires, parfois, prennent des généalogistes, qui d'autres fois arrivent à trouver... Pour que ta femme signale ton décès, faudrait que tu sois mort, donc tu ne pourrais pas écrire o joel Le 20/12/2005 à 1410 16227451 "la bref nette" a écrit dans le message de news 43a6babe$0$9161$ Bonjour. Je suis en mauvaise terme avec une partie de ma famille. Suis-je obligé de les prévenir mes freres, soeurs et parents en cas de décès de mon épouse ou des mes enfants ? Même question pour mon épouse, est elle obligé de prévenir ma famille de mon décès ? Merci. Jacques. en cas de deces d'un des parents une succession sera ouverte aupres d'un notaire et il faudra à ce moment declarer tous les ayants droit . en fonction de cette declaration il faudra ou non prevenir certaines personnes. si un de vos enfants decede comme vous en etes heritier direct sauf s'il avait eu assusi en enfant tout en etant mineur il n'y a pas d'obligation à part morale d'avertir autrui. joel DEMAINE Benoit-Pierre Le 20/12/2005 à 1557 16227401 > Pour que ta femme signale ton décès, faudrait que tu sois mort, donc tu ne pourrais pas écrire o sauf si le monsieur imprimait antérieurement a son décès une réponse pertinente lue sur un forum, et que sa femme trouvait le dit papier a temps. - DEMAINE Benoit-Pierre aka DoubleHP _oo_/ micol Le 20/12/2005 à 1703 16227361 On Mon, 19 Dec 2005 145054 +0100, "la bref nette" wrote Bonjour. Je suis en mauvaise terme avec une partie de ma famille. Suis-je obligé de les prévenir mes freres, soeurs et parents en cas de décès de mon épouse ou des mes enfants ? Même question pour mon épouse, est elle obligé de prévenir ma famille de mon décès ? Merci. Jacques. Il n'y a aucune obligation d'informer individuellement telle ou telle personne. Il y a obligation de faire paraître un faire-part de décès dans la presse. Le Fou Le 21/12/2005 à 2021 16226861 Cette option est réservée aux membres de GNT. Merci de vous inscrire, c'est gratuit !. Cette option est réservée aux membres premium de GNT. Pour en savoir plus, cliquez ici.
Translationsin context of "décès de ma mère" in French-English from Reverso Context: Il a déménagé après le décès de ma mère. Translation Spell check Synonyms Conjugation. More. Conjugation Documents Grammar Dictionary Expressio. Reverso for Windows. Log in. Register Log in Connect with Facebook Connect with Google Connect with Apple. Reverso Premium.
Bonjour Lilliman, J'entends bien ta douleur, et pour l'avoir vécue aussi, je sais que c'est une période très difficile. C'est brutal et on a du mal à admettre que tout s'arrête aussi rapidement. Pour moi, c'était il y a 17 ans. Ma mère que j'aimais plus que tout, s'en est allée, tout doucement. Son cœur fatigué s'est arrêté, un peu comme la flamme d'une bougie qui a fini de se consumer. C'était en Novembre aussi, et quand le lendemain il s'est mis à neiger, je me suis dit "qu'elle devait avoir bien froid". Elle restera dans mon cœur à jamais, car c'était une personne exceptionnelle, qui donnait beaucoup d'amour à nous tous, ses enfants, alors qu'elle s'oubliait elle-même. Elle n'a pas souffert, c'est aussi ce qui a un peu apaisé notre peine. Pendant longtemps, nous en avons parlé avec mes frères et sœurs. Nous parlions d'elle, des souffrances qu'elle a vécues, des angles qu'elle arrondissait toujours pour que tout se passe bien entre les uns et les autres. Aujourd'hui, 17 ans après, je pense à elle, tous les jours, et pratiquement toujours à la même heure, car c'est à cette heure-là que je lui téléphonais. Elle me manque encore terriblement, et d'autant plus aujourd'hui car je vis une situation de rupture conjugale extrêmement douloureuse, et je sais qu'elle aurait trouvé les mots qui apaisent, elle m'aurait prise dans ses bras, elle m'aurait réconforté comme elle savait si bien le faire. Je ne crois plus en quelque Dieu que ce soit, et parfois, il m'arrive de l'appeler, de la prier pour que, de là où elle se trouve, elle m'envoie un peu de courage, de réconfort. C'est en quelque sorte comme si elle était mon dieu à moi. Tu sais Lilliman, comme l'exprime si bien revelune, nos parents sont ceux qui nous "protègent", quel que soit notre âge, car tant qu'ils sont là, on est toujours leur enfant. Quand ils s'en vont, ils nous laissent orphelin, et surtout adulte. On a l'impression qu'on n'a plus cette protection qu'il assurait, et que maintenant, il va falloir qu'on avance sans cette "barrière de protection". C'est déstabilisant. Cela nous demande beaucoup de courage, beaucoup de force pour surmonter cette épreuve. C'est ce que je te souhaite Lilliman. Que tu sois forte. Que tu puisses en parler, autant de fois que tu en a envie, avec tes sœurs, ton frère, ton père, et bien sûr, ici sur ce forum. Que tu aies du mal à supporter tes enfants et ton conjoint est normal. La disparition est encore très fraîche, et eux, comme ils continuent à vivre "normalement", cela t'agace. Mais essaies tout de même d'être patiente avec eux. Quand ma mère est décédée, je ne supportai plus de voir les mamies dans la rue. Je leur en voulais d'être vivantes, alors que ma mère à moi venait de partir. Et puis, petit à petit, cela s'est estompé. Au fur et à mesure que le temps passera, tu avanceras petit à petit, la douleur sera moins violente, mais ta maman sera toujours, à jamais, dans ton cœur. Et puis, tu sais Lilliman, il faut que tu te dises aussi qu'elle n'a pas trop longtemps souffert. Je vois beaucoup de gens de mon âge aujourd'hui, qui sont confrontés aux soucis occasionnés par les hospitalisations de longue durée de leurs parents qui sont maintenus en vie alors que toute conscience a disparu depuis bien longtemps. Je me dis parfois que même si ma maman est partie vite, brutalement, au moins, elle n'aura pas vécu ce long calvaire qui conduit jusqu'à la mort. Je te souhaite beaucoup, beaucoup de courage Lilliman, pour avancer dans cette douloureuse épreuve. Gros bisous. Kelly
Unehabitante de Tourcoing n'a appris le décès de sa mère en Ehpad au Croisic que deux ans après. Elle accuse le CCAS et le Département de Loire-Atlantique de "carences".
Cette question a été résolue La dernière mise à jour des informations contenues dans la réponse à cette question a plus de 5 mois. ma mère est décédée le 29 janvier , enterrée hier ; elle était veuve et je suis fille uniqueque dois je faire comme démarches vis à vis de la cpam rendre la carte vitale ?, ai-je droit à un capital décès ? ce qui m aiderait à régler les obsèquesmerci de votre aideCath cath cath Niveau 0 1 / 100 point 1 question posée 0 réponse publiée 0 meilleure réponse Les meilleures réponses sont les réponses certifiées par un expert ameli ou approuvées par l'auteur de la question. Inscrite le 05/02/2019 Voir le profil Réponse certifiée par un expert ameli Un expert ameli a validé la réponse ci-dessous. Tiphaine Tiphaine Niveau 4 5000 / 5000 points Equipe 3748 réponses publiées Tiphaine, jeune maman active et moderne. Aime les moments en famille et les sortie... Voir le profil Bonjour cath,Dans un premier temps, je vous présente toutes mes convient lors du décès d'un proche de retourner la carte Vitale de l'assuré à sa caisse primaire d'assurance maladie CPAM.S'agissant du capital décès, je vous invite à consulter notre topic sur le droit au capital journée. Ce post vous a-t-il été utile ? 77% des internautes ont trouvé cette réponse utile Tutellequi oublie de me prévenir du décès de mon beau père. 7 réponses / Dernier post : 23/01/2011 à 09:50. L. lyl95kg. 20/01/2011 à 18:19 . Bonjour j ' éspère être dans la bonne rubrique car j ' ai besoin de conseil . En effet la mère de mon conjoint s' est marié avec un homme plus âgé de 20 ans qu ' elle . Malheureusement elle décède brutalement ( après plus Il arrive que la succession dévolue à un héritier soit en tout ou partie composée de biens matériels et qu'ainsi l'héritier ne dispose pas des liquidités suffisantes pour s'acquitter immédiatement des droits de succession qu'il doit à l'administration fiscale. Dans ce cas, il est possible de procéder à la vente d'un bien, mais il peut arriver que l'héritier ne souhaite pas se séparer du bien reçu. Il peut alors demander à l'administration fiscale des délais pour échelonner le paiement des droits, avec une période de maximum 6 mois entre chaque versement 1. La durée de l'échelonnement varie en fonction du montant des droits à payer par rapport à la valeur de l'héritage, sans pouvoir excéder 10 ans. Cette option n'est pas gratuite et l'administration exige une contrepartie qui se présente sous la forme d'une garantie qu'elle prend sur un bien tel un gage ou une hypothèque. En outre, l'échelonnement est rémunéré par un intérêt au taux légal généralement assez faible calculé sur le montant des droits dus. Toutefois, cette faculté n'est pas automatique et l'administration peut la refuser. Dans ce cas, l'héritier peut éventuellement solliciter un prêt bancaire afin de s'acquitter des droits dont il est redevable. La succession peut parfois avoir été transmise suivant un démembrement de la propriété, un héritier ayant l'usufruit et l'autre la nue-propriété. C'est généralement ce dernier qui, ne tirant aucun bénéfice du bien reçu, peut rencontrer des difficultés pour s'acquitter des droits. Dans ce cas, il est permis de ne payer l'impôt qu'au jour où l'usufruit prend fin par la mort de l'usufruitier ou la vente du bien par exemple. A nouveau, cette possibilité n'est pas gratuite et est soumise à garantie et intérêts. L'héritier peut toutefois se voir exonéré du paiement de ces intérêts s'il s'engage à payer les droits sur la valeur totale du bien et non pas seulement sur sa nue-propriété au jour où l'usufruit prend fin. Enfin, il faut savoir que pour les dettes de succession, les héritiers sont réputés être solidaires entre eux 2. Ainsi, le fisc peut ne réclamer le paiement qu'à certains ou un seul d'entre eux, notamment s'il s'avère que les autres vont présenter des difficultés de paiement. Dans ce cas, il est également possible pour les héritiers de s'entendre et que l'un d'entre eux fasse l'avance des frais de l'autre. Il faut être vigilent et s'assurer d'obtenir le consentement de l'administration quant à un éventuel différé de paiement, car une majoration de 10% peut être appliquée après 12 mois.

Décèsde ma mère. Au Nom d'ALLAH le clement et misercordieux. Hier,le 03/02/2006 a 14h00, j'ai recu une douleureuse et triste nouvelle,on m'annancant la disparition de ma trés chére Mére, agée de 63 ans, elle se nomme "Mahdjouba" et je

Je suis tombée sur ce forum et j'ai juste envie de pleurer. J'ai 66 ans, je suis fille unique....J'ai vécu enfant au milieu de scènes de ménage violentes, entendu des choses pas de mon âge, de cocufiage, etc..... J'ai dû consoler mes parents après leurs scènes..... Mes parents etaient maltraitants pas physiquement mais moralement. Ma mère me rabaissait en permanence en parlant de moi négativement en ma présence, lorsque j'étais enfant, adolescente, et même adulte devant mes filles. J'étais nulle, lente, lymphatique, moins vive moins intelligente qu'elle..... Mon père lorsque j'étais petite avait l'air plus affectueux avec moi. Mais à 19 ans lorsque j'ai raté ma 1ere année de faculté il m'a démolit, traitée de nullité, rabaissée même devant mes amis. Je n'ai jamais eu confiance en moi, j'ai toujours pensé ne pas être "aimable" ! J'ai toujours couru après leur amour. Un mot, un geste ! Mais rien. Heureusement pour moi j'ai rencontré un homme bien, sain, équilibré, j'ai eu 2 filles et je n'ai pas reproduit ce que j'avais vécu. J'ai tout fait pour donner à mes filles la confiance en elles dont moi je manquais. Je savais ce qu'il fallait faire et dire pour qu'elles soient "bien dans leurs baskets", surtout plus équilibrées que moi !!!. Il suffisait de donner, de faire, de dire l'inverse de ce que j'avais vécu. Ma mère a été une grand mère formidable, fan de mes filles surtout de l'aînée, les 2 ont fait de brillantes études, mieux que moi. Ma mère se retrouvait en elles. Ma mère a quand même dit à table devant moi "qu'elle n'y pouvait rien mais qu'elle n'aimait que ses petites filles" J'ai pensé à des paroles maladroites et lui ai dit "merci pour moi" Elle a répondu "j'y peux rien c'est comme ça !". Mes larmes et mon départ de la pièce n'y ont rien changé, elle est restée de marbre. L'année de mes 50 ans ma mère est décédée brutalement d'un AVC. J'ai beaucoup souffert qu'elle soit morte sans avoir eu l'occasion de me dire "qu'elle m'aimait". J'étais persuadée qu'en vieillissant, en s'adoucisant avant de mourir cela arriverait. Ça été dur mais j'ai voulu croire qu'elle me l'avait montré et dit de façon détournée. Mon père nous a prévenu mon mari et moi après le décès de ma mère, que nous devrions venir tous les WE nous occuper de lui et de sa maison..... "Que les voyages s'étaient terminés puisque ça nous était arrivé" sous entendu le décès de ma mère. Quelques temps après mon père mon père, âgé de 73 ans m'a demandé "l'autorisation de sortir avec une femme". J'ai trouvé ça déplacé et lourd à porter. Mes filles m'ont dit "fais le tu auras la paix". En effet, j'ai eu 15 ans de bonheur. Il parlait de moi "en disant l'autre de xxxxx à téléphonée". Cette femme m'a dénigrée en disant partout que "je n'entourais pas assez mon père" mais je m'en foutais j'avais la paix. Sa compagne est décédée depuis 7 mois et depuis je vis l'enfer. Je suis sa chose, sa poubelle ! J'ai droit àX appels quotidiens, des reproches, des paroles méprisantes, de la culpabilité. Il a eut x cancers, vu "x médecins généralistes, spécialistes" fait des prises de sang, radios, scanners etc..... Il n'y a pas un jour où ça va. Il ne fait que se plaindre, s'inquiéter à la moindre douleur. Il m'a appelé plus de 20 fois la même journée, la nuit aussi. Chaque fois j'entends "j'ai 90 ans, je suis seul, je suis très anxieux" J'ai tout essayé pour le réconforter, le rassurer, rien n'y fait. J'ai crié, je lui ai dit qu'il me rendait malade. Il s'en fout, j'ai droit à "je n'ai que toi !", "je suis très très malade, il faut que tu viennes", "je t'en supplie viens je suis entrain de mourir", sachant que 2 h après il plaisante avec une voisine et que j'habite à 60 kms de chez lui..... Il me dit que la pharmacienne lui dit "mais vous n'avez pas d'enfant !?". Il veut me culpabiliser, il me fait du chantage au suicide. Il est jaloux du temps que je consacre à mes petits enfants, qui eux ont leurs parents alors que lui n'a que moi. Il refuse tout anti dépresseur, anxiolitique, il a trop peur de s'accoutumer ou bien des effets secondaires. Par contre ça ne le dérange pas que moi j'en prenne pour le supporter lui. J'ai découvert qu'en fait il cochait toutes les cases du pervers narcissique. Je consulte psychologue, somatopathe, je lis..... Mais il m'habite, me manipule !!! quand il voit que je n'appelle pas, ou que je ne réponds plus il me laisse des messages en larmes en me jurant "que c'est fini, qu'il ne me cherchera plus des noises, qu'il va changer" je ne peux pas m'empêcher d'y croire et le lendemain il recommence. Juste sa voix au téléphone me donne des nausées, des maux de ventre. Je ne le supporte plus du tout. Il refuse de rentrer dans une maison. Il est bien entouré en payant, mais sinon il est seul. Mes filles n'ont plus envie ni de lui téléphoner, ni de lui rendre visite. Moi je ne dors plus, on me dit de couper les ponts mais je n'y arrive pas. Il est si pittoyable, si seul. Si quelqu'un qui a vécu la même chose peut m'aider à me sortir de cette emprise merci d'avance. xBwzTh. 349 264 499 241 373 472 478 456 26

pas prévenu du décès de ma mère